dimanche 20 octobre 2019

CARLOS CIRIZA

En décembre aura lieu la dernière exposition de l'année 2019
du 6 au 15 décembre 2019,

























samedi 31 août 2019

Laurence Innocenti et Marie Bonnefond

Peintures et sculptures du 14 septembre au 6 octobre


Marie Bonnefond, sculptures

Laurence innocenti, peintures




Laurence Innocenti est née en 1950. Elle vit entre Paris et Charente Maritime où elle travaille désormais. Elle est issue d’une famille d’artistes, son père, Jacques Innocenti, était un grand céramiste de Vallauris dans les années cinquante.
Elle a étudié à l’école Nationale des Beaux-Arts de Saint Etienne. Elle expose depuis 1980 dans des galeries et des foires internationales d’art contemporain, en France et à l’étranger.
Son mode d’expression est la peinture, elle utilise principalement l’acrylique et les techniques mixtes sur toile et sur papier. Sa réflexion se dirige de plus en plus vers la nature, entre la peinture, l’écriture, la photographie, ses différentes formes d’expression

« Hier j’ai quitté le monde urbain teinté de gris
Aujourd’hui je rencontre un monde de couleurs que m’offre la nature »

« Quand il est question de champs et de traverses »
Quand je rentre dans mon atelier, j'entre dans ma bulle de légèreté.
Là, je commence mon "voyage immobile" en parcourant les champs de la toile et de l'esprit, dans l'atelier, territoire du peintre, au travers de la matière et de l'imaginaire.
Voyager dans mon imaginaire pour essayer d'échapper au monde, accéder à l'équilibre, à l'harmonie et la simplicité. Et de beauté rêver
Laurence Innocenti

samedi 3 août 2019

L'exposition est ouverte

Marie-Céline Nevoux-Valogne https://mc-nevouxvalognes.wixsite.com/home/bio 
Cyrille Druart www.cyrilledruart.com 

Marie-Céline sera présente à la galerie dimanche 4 août après-midi

ATTENTION : 

pour les informations complémentaires vous allez sur : plus d'info 

en dessous de l'affiche,  sinon il vous manque toutes les informations.


Petit aperçu de l'exposition




Photo de Yves Bracq (le Télégramme)


mercredi 15 mai 2019

Philippe LECOMTE peintures

https://www.philippelecomte.fr/vid%C3%A9os/



"Mon travail porte sur le corps et ne cherche pas systématiquement à prendre en compte sa représentation

Aussi ma tentative s'oriente-t-elle vers la sensation avec une volonté d'évocation.

Plus ou moins réalistes, plus ou moins abstraites, mes peintures et mes dessins ne cherchent pas la stricte cohérence mais une écriture spécifique en accord avec ce propos.

Je m'intéresse autant à la surface qu'à ce qu'elle recouvre, car le visible ne me semble pas être le sujet de la peinture.
Si cela était il suffirait d'ouvrir les yeux.
Chacun sait que la réalité descriptible n'est qu'une part de la réalité
La peinture ne peut être illustrative, elle ne montre pas : elle découvre."

mercredi 10 avril 2019

Sezny PÉRON, ardoise et Fabien JOUANNEAU PEINTURES

ARTS RADEN réouvre ses portes



                                                                    Sezny PÉRON
                                            http://dadalegarrec.wixsite.com/sezny-peron





Ses noires plaques d’immensité  Le noir est son territoire habité, et même les lumières qui frappent l’ardoise, sa matière vive, sont opaques. “Partir du noir, sortir du trou, et taper dans la matière“. Sezny Peron trouble à l’infini le cadre rigoureux d’une forme primitive initiale. Il travaillait naguère, en taille directe, le bois que sculptait son père ébéniste. Des statuettes en ronde bosse. Puis l’abstraction s’est approchée. On pourrait deviner les influences lointaines d’un Marfaing ou d’un Soulages. Et l’ardoise est venue, née d’anciennes carrières des Montagnes Noires de Bretagne… “Certaines ardoises ont vécu, et viennent de toits d’hommes, après contact du vent, de la pluie et du gel“. Matière et mémoire humaine s’étreignent à vif dans ces œuvres tranchées au scalpel. Art d’élan, de lignes, et d’ouverture, avec des structures linéaires parfois implacables, parfois fragiles, “qui vacillent et qui vibrent“. Sezny Peron part d’une structure initiale apparemment simple, ou plutôt simplifiée, pour ensuite la perturber subtilement, sans jamais la bouleverser. Le chaos n’est pas son fort, et chez lui, la création dit et respecte l’énigme de la création…Dans cette œuvre intemporelle et silencieuse, surgissent “des pierres qui défient le temps“. On voit donc des cicatrices d’univers, riches de flux, de souffles et de courants, et des miroirs absorbants, ou même aveugles, d’intime humanité. Sezny Peron crée de pures et sombres vagues d’étendues marquées de plis sensuels, voire de fentes sexuelles. L’espace fendu s’exprime en millénaires faillés qui fouilleraient la puissance infinie des ténèbres. Lyrisme cependant retenu, et toujours pudique, parfois joliment hermétique. Sensibilité pierreuse et secrète, traversée de trouées.Le vocabulaire plastique de Sezny Peron est étonnant de sobriété, de décantation formelle, et de dépouillement mental. Fulgurante austérité. Langage de nudité.Christian Noorbergen


« J'utilise l'ardoise des toitsJ'aime leur bleu aux nuances affinées par les années, leurs lignes de surface, leurs vibrations dans le tranchant, j'aime leur dureté de roche, leur fragilité de feuille. » « En passant de l'état de feuille à l'état de bloc, elles me racontent leurs origines... En me dévoilant un peu de leur histoire, elles m'aident à écrire la mienne »



Fabien JOUANNEAU
www.facebook.com/jouanneaufabien



Les œuvres de Fabien Jouanneau sont autant d’invitations à traverser la surface translucide pour pénétrer dans un monde en apesanteur. Un monde qui conjugue l’expansion d’espaces potentiellement illimités et l’exiguïté d’un volume confiné. Intimité et universalité y coexistent et s’entrechoquent, au gré de l’imagination ou des états d’âme du spectateur {…}
Il nous livre une sorte de radiographie – ou plutôt une radioscopie – d’un espace énigmatique, insaisissable et palpitant, vibrant avec la lumière, répondant aux déplacements de l’observateur. On devine, chez lui, une course aussi désespérée qu’effrénée pour s’emparer des réalités vivantes avant qu’elles ne s’anéantissent définitivement. On y décèle une empathie amoureuse pour des riens insignifiants, pour des corps évanescents, à la matérialité éphémère, échappant à l’étreinte au moment même où l’on pense les empoigner. Son travail se ferait ainsi l’écho du propos de Victor Hugo: «Aimer un être, c’est le rendre transparent. »
Louis Doucet, 2015.



jeudi 4 avril 2019

Échange autour de Riopelle




Un après midi passionnant qui a permis une approche très vivante de l'artiste. Le public était au rendez-vous.










En marge de l’exposition « Joan Mitchell et Jean-Paul Riopelle » de Landerneau,
vous êtes cordialement invités à un 
échange organisé à la Galerie Arts Raden.
Hélène et Dominique Poisot (d'ARTEVA) évoqueront les expositions de Riopelle qu’ils ont réalisées ainsi que le projet interrompu de sa Fondation en France. Ils aborderont également la nature et l’originalité du personnage qu’ils ont bien connu à la fin de sa vie, au Canada.

Dimanche 7 avril 2019 à 15h
chez Arts Raden
Kerdréanton
29710 Plogastel Saint-Germain

Nombre de places limité.
Sur réservation uniquement
Par téléphone : 06 16 38 35 95
Ou par e-mail : artsraden@gmail.com

samedi 5 janvier 2019

Tous nos voeux

L'équipe associative vous souhaite une belle année 2019
Au plaisir de vous retrouver au printemps


La nature aussi fait de belles choses : sol volcanique
La concurrence est rude !